30.4.17

Question du dimanche #161


  
 Le premier à me donner le titre du film dont est extrait ce gif animé gagne un crédit de 10€ !
 A dépenser aujourd'hui, dimanche, entre 16h et 21h30!
La réponse peut-être donnée sur notre page facebook ou ci-dessous dans la section des commentaires.
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Aquarius (2016)  de Kleber Mendonça Filho
Victoire de Jonathan, ci-dessous !

Critique musicale à la retraite, dame Clara est la dernière habitante de l'Aquarius, une résidence de caractère situé à quelques pas de la plage. Les promoteurs qui ont racheté tous les autres appartements tentent alors de la pousser hors de ses murs dans lesquels elle a tout vécu.

Avec pour toile de fond la dénonciation d'un Brésil en proie au capitalisme, Kleber Mendonça Filho offre un sublime portrait de femme, équilibrée et à la pugnacité exemplaire.
À voir absolument.

En savoir plus sur ce film ? Par ici, par exemple...

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Les indices (inutiles aujourd'hui):



23.4.17

Question du dimanche #160

   Le premier à me donner le titre du film dont est extrait ce gif animé gagne un crédit de 10€ !
 A dépenser aujourd'hui, dimanche, entre 16h et 21h30!
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Bob Roberts (1992) de Tim Robbins
Victoire rapide de Thanhas ci-dessous

Mockumentaire mettant en scène un très populaire chanteur folk aux accents crypto-fascistes qui se présente aux élections sénatoriales américaines...

Le premier film de Tim Robbins comme réalisateur expose les principaux rouage du système politique:  séduction, manipulation, corruption. Malheureusement, le film, qui fête son quart de siècle cette année, n'a pas pris une ride et porte un regard aussi juste que féroce sur notre société capitaliste.

"On se croirait à un meeting du Front National, la musique folk en prime!"
écrivait à juste titre Marie-Elisabeth Rouchy dans Télérama lors de la sortie en salles.
Le reste de la critique est !




Les indices (inutiles aujourd'hui):


19.4.17

Game vs Movie

Hé les geeks, il est pour vous celui-là !
Alors, oui, quand un jeu vidéo fait un bébé au septième art, il n'est pas forcément très beau, ni très intelligent. Mais, avec le temps (qui ne détruit pas tout finalement), l'ingrate progéniture peut prendre du galon, dépasser le stade du navet, pour devenir nanard, et parfois atteindre l'ultime étape: culte intouchable. Puis, quoi, on ne boude pas un plaisir coupable (les filles aiment les comédies romantiques, les mecs préfèrent une Jolie qui défouraille, que chacun assume sa part régressive). Enfin ne nions pas, tout de même, qu'il arrive parfois de bons films, voire de grand films (avec un message et tout le toutim) de cette union incestueuse (les deux arts sont quoi au juste ? Frères ? Cousins ?). Bon, ça devient un peu chelou là, on verra tout ça dans une semaine pile poil, un ciné-quizz proposé, préparé et présenté par Guillaume aka Satan !

MERCREDI 26 AVRIL - 20h00  (Entrée Libre)

16.4.17

Question du dimanche #159

   Le premier à me donner le titre du film dont est extrait ce gif animé gagne un crédit de 10€ !
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Premier indice !

 (L'arrêt sur image est présent dans le film et n'est aucunement une conséquence du gif)

Deuxième indice !

Troisième et dernier indice visuel !

 ***

Buffalo '66 (1998) de Vincent Gallo
Victoire de Thanhas ci-dessous !

Billy Brown sort de prison. Il vient d'y purger une peine de cinq ans. Avant de rendre visite à ses parents qui ignorent tout des motifs de sa longue absence, il kidnappe la jeune Layla qu'il désire faire passer pour son épouse...

Qui suis-je ? Où vais-je ?
Deux questions qui taraudent une bonne partie de l'humanité et auxquelles tente de répondre le nombril de l'underground américain dans son premier long métrage.
Un beau film, où le sucre et l'amertume ne cessent de se disputer, un drame intime sur l'identité, la famille et une Amérique qui a cessé de rêver.

9.4.17

Ciné-troc #2

 Suite au succès du premier évènement qui avait eu lieu le 4 janvier, la mandragore et Nussy vous propose un second ciné-troc. Un trimestre s'est écoulé, et sans aucun doute, de nouveaux dvd ont rejoint la pile des oubliables...Venez (ou revenez) le dimanche 16 avril, entre 15h et 18h, échanger vos affaires de cinéphiles (dvd, cd, affiches, livres) et discuter de vos derniers visionnages autour d'une pinte de printemps, d'un thé glacé ou d'un café frappé...

> FB

Question du dimanche #158

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Yellow Submarine (1968) de George Dunning
Victoire instantanée de Thanhas ci-dessous

Certes, cette histoire de tyran venu ôter toute joie et couleurs au peuple de Pepperland puis renversé par la musique et l'humour de l'équipage du sous-marin jaune n'est sans rappeler la trame du fabuleux court-métrage de Raoul Servais, Chromophobia, sorti deux ans auparavant...
Mais le film de George Dunning, hautement inspiré par les chansons des Fab Four et porté d'une main de maître par son directeur artistique, le tchèque Heinz Edelmann, va bien plus loin; plus loin dans les techniques utilisées, plus loin dans l'invention, plus loin dans le psychédélisme, mais également plus loin dans la glorification de l'amour de son prochain - les vilains n'y sont pas définitivement irrécupérables. Peu impliqués durant la production (ils refusèrent de doubler leurs personnages et se rendirent à contrecœur au studio pour tourner la scène finale qui les voit apparaître en chair et en os), les Beatles furent finalement très impressionnés par le résultat.
Incunable du film d'animation mais également du film musical, Yellow Submarine a cette rare capacité de fascination à tout âge de la vie.

***

Les indices inutiles:
 


4.4.17

Free Mind

Dès aujourd'hui et durant tout le mois d'avril, 
c'est notre très chère Andréa qui expose ses expériences photographiques ! 


2.4.17

Question du dimanche #157

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Premier indice: 

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 Le meilleur des mondes possible (O Lucky Man!/1973) de Lindsay Anderson
Victoire de Jonathan ci-dessous, après révélation de l'indice montrant le joli costume dont le héros hérite dans le premier tiers du film.

Quelques années après If...., Mick Travis est désormais un jeune homme candide et ambitieux, prêt à se jeter corps et âme dans le monde du travail. Son charme évident lui ouvre les portes d'un poste de représentant pour une grande société spécialisée dans la distribution de café. Après de premières transactions facilement réussies, il est rapidement confronté au pire de ce que la société britannique des années 70 semble offrir à une jeunesse désarmée...

Injustement moins notoire que les deux autres films qui composent la trilogie Mick Travis (If....+ Britannia Hospital), Le meilleur des mondes possible n'a pourtant rien à leur envier.

 
 À noter: les excellentes compostions d'Alan Price qui ponctuent à merveille ces trois heures passionnantes et surréalistes


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Les deux autres gifs-indices (inutiles aujourd'hui):